Ce samedi 6 décembre 2025 marquait un tournant pour le concours Miss France. Après une année de règne, Angélique Angarni-Filopon a passé le flambeau. La jeune femme a bel et bien laissé sa place à Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti, couronnée Miss France 2026. Un sacre très applaudi par le public, mais qui n’a visiblement pas fait l’unanimité parmi certaines candidates de l’aventure.

Miss Aquitaine et Miss Provence au cœur du scandale

Peu après l’annonce du Top 12, un premier vent de contestation a soufflé sur les réseaux sociaux. Miss Aquitaine, Aïnhoa Lahitete, ainsi que Miss Provence, Julie Zitouni, visiblement déçues de ne pas apparaître parmi les demi-finalistes, ont exprimé leur frustration en ligne. Dans des messages rapidement relayés, Aïnhoa Lahitete s’est exclamée : “Désolé mais c’est quoi ce Top 12 ? Je ne veux pas faire ma rageuse hein. Allô la Terre.” Julie Zitouni a, de son côté, ajouté : “De grosses p****“. Des mots qui ont suscité de nombreuses réactions.

Face à la polémique, Miss Provence a tenu à s’expliquer. Sur Instagram, elle a d’abord assuré que ses propos avaient été maladroits et ne reflétaient pas sa pensée réelle. Selon elle, les termes utilisés relevaient d’un langage familier et visaient simplement à qualifier les 12 demi-finalistes de “veinardes” ou “chanceuses“. Elle a également rappelé qu’une grande partie du Top 12 était composée de candidates qu’elle appréciait profondément.

Interrogée ce lundi sur la controverse, la nouvelle Miss France a quant à elle opté pour l’apaisement : “J’ai entendu parler des polémiques autour de Miss Aquitaine et Miss Provence… Elles se sont expliquées et excusées, donc je n’ai rien à ajouter“, a-t-elle confié devant les caméras de Brut.