Action en justice contre les fausses accusations (3/12)
Face à cette situation, la Première dame et sa famille ont décidé de réagir en portant l’affaire devant la justice. En 2022, une procédure a été engagée auprès du tribunal judiciaire de Paris pour identifier et sanctionner les responsables de ces fausses accusations. Cette démarche a permis de retracer les relais de la rumeur, notamment deux femmes qui avaient largement contribué à sa diffusion.
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Verdict judiciaire pour diffamation publique (4/12)
En juin 2024, ces deux femmes ont été reconnues coupables de complicité de diffamation publique. Elles ont été condamnées à une amende de 500 euros assortie d’un sursis, et à verser des dommages-intérêts à Brigitte Macron et à son frère Jean-Michel Trogneux. Cette décision judiciaire souligne la gravité des faits et la mobilisation des institutions pour défendre l’intégrité des personnes visées par des campagnes de désinformation.
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Entretien avec le créateur de la rumeur (5/12)
Cependant, l’origine de cette rumeur ne s’arrête pas là. Xavier Poussard, identifié comme le créateur initial de cette désinformation, a choisi de sortir de l’ombre. Connu comme ‘l’un des plus influents complotistes français’, il a accordé un entretien exclusif au magazine Society en juin 2025 pour revenir sur la genèse de cette rumeur.
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Origine de la théorie du complot expliquée (6/12)
Selon Xavier Poussard, cette fake news n’était pas une attaque personnelle préméditée, mais plutôt une théorie conspirationniste née d’une interprétation erronée de faits publics. Il a admis ne pas avoir anticipé l’ampleur que prendrait cette histoire, ni sa propagation rapide. Cette déclaration met en lumière comment la désinformation peut échapper à ses instigateurs.
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