Carla Bruni passe aux aveux : “Comme je l’ai lu dans la presse…”, cet élément clef dans l’affaire Takieddine qu’elle a déjà confirmé

“C’est la police qui me l’a dit, parce que je ne m’en souvenais pas”

Pendant cette enquête, un téléphone surnommé 43 97 a interrogé les juges. Ces derniers ont suspecté que ce téléphone servait au couple Sarkozy pour échanger discrètement avec Michèle Marchand, dit Mimi, ex-papesse de la presse people et ancienne amie de la mannequin.

Face aux policiers, Carla Bruni a nié détenir cette ligne téléphonique, ni même connaître les initiatives présumées pour innocenter son mari. Face aux multiples questions des enquêteurs, la chanteuse avait fini par déclarer : “J’essaie d’échafauder des explications.” Dans la foulée, l’AFP a révélé que Carla Bruni avait fini par reconnaître devant les juges le 9 juillet dernier avoir “utilisé ce téléphone par ellipse, parfois. C’est la police qui me l’a dit, parce que je ne m’en souvenais pas.” Elle aurait ensuite ajouté : “Cette ligne n’est pas une ligne occulte comme je l’ai lu dans la presse.” La femme de Nicolas Sarkozy a ensuite précisé que cette ligne avait été “ouverte pour mes enfants.”