Katy Stubbs, neuroscientifique à Alzheimer’s Research UK, insiste sur le fait que ces découvertes sont prometteuses pour la prévention de la démence. La bonne nouvelle, c’est qu’il est encore possible d’agir ! Même si cette étude ne peut pas établir un lien de cause à effet, elle met en lumière le rôle crucial de l’audition dans la protection de notre cerveau. En surveillant et en prenant soin de notre audition, nous pourrions potentiellement ralentir, voire prévenir, le déclin cognitif. Cette démarche commence dès aujourd’hui : la prise en charge des troubles auditifs pourrait bien être la clé pour prévenir une maladie qui touche déjà plus de 1,8 million de personnes en France d’ici 2050.
