Des médecins étudient l’ADN d’une femme de 117 ans pour découvrir un aliment qui contribue à sa longévité

Et si vieillir n’était pas qu’une question de chance ?

Autre surprise : Maria avait des télomères courts — ces extrémités des chromosomes souvent liées à une espérance de vie plus courte. Et pourtant, dans son cas, cela aurait pu empêcher certaines cellules de devenir cancéreuses. Un paradoxe que les chercheurs continuent d’analyser, mais qui rappelle que chaque corps vieillit différemment.

Ce qu’on retient avant tout, c’est que l’âge n’est pas synonyme de déclin. « Vivre très vieux ne signifie pas forcément être malade », soulignent les chercheurs, qui insistent sur l’importance des bons choix de vie… avec un soupçon de génétique.

Maria nous rappelle que vieillir, ce n’est pas seulement accumuler les années. C’est une manière de vivre. Active, généreuse, connectée aux autres… et fidèle à ses petits rituels. Et si c’était ça, le vrai secret du bien vieillir ?