Une vérité douloureuse, mais nécessaire
Mon fils avait découvert qui elle était. Il avait choisi de la revoir. En secret. Pas pour nous trahir, non. Mais pour comprendre d’où il venait.
« Je suis désolée, » murmura Suzanne. « Je ne voulais pas vous blesser. Je voulais simplement passer un peu de temps avec lui, sans tout chambouler. »
Je regardais mon fils, puis cette femme qui, comme moi, aimait ce petit garçon profondément. Comment en étions-nous arrivées là ? Par peur. Par non-dits.
Un choix à faire : la fermeture… ou l’ouverture

Alors j’ai dit :
« Il a la chance d’avoir deux femmes qui l’aiment. Apprenons à faire équipe. »
Elle a hoché la tête, les yeux brillants.
Ce jour-là, j’ai compris
La famille, ce n’est pas une case à cocher.
C’est un lien qu’on choisit de tisser… à plusieurs.
