« Maman, merci. J’ai ouvert une petite boutique de fleurs. J’ai enfin trouvé la paix. » — Élise.
Les larmes me sont montées aux yeux. Elle avait choisi de se reconstruire, de vivre libre, entourée de beauté. Et moi, j’étais fière d’elle, fière d’avoir su écouter mon instinct et tendre la main sans jugement.
Je me suis installée près de la fenêtre, regardant le soleil descendre sur les arbres dorés. J’ai pris une grande inspiration, le cœur apaisé.
Parce qu’à tout âge, on peut décider d’écrire un nouveau chapitre.
