“Je n’ai plus de famille” : les tristes confidences de Laurence Boccolini sur sa solitude dans son combat contre sa tumeur inopérable (ZAPTV)

Laurence Boccolini évoque son combat seule contre sa maladie

Laurence Boccolini a également évoqué sa grande solitude face à son combat contre la maladie. Elle a ainsi révélé qu’elle ne pouvait compter désormais que sur elle-même, y compris lors de ses nombreux examens et radiothérapies. Des rendez-vous stressants qu’elle doit gérer toute seule. “Je n’ai plus de famille, donc il a fallu que je gère. Quand j’ai fait mes séances de rayons, j’y vais seule, je n’alarme pas ma fille, même si elle est au courant. Il y a plein de gens dans ma situation qui n’ont pas un entourage déjà bien musclé pour supporter ça, pour venir avec vous, donc il faut gérer seul. J’apprends à gérer seule, je descends au bloc seule“, a-t-elle raconté, en révélant même avoir dû se soigner seule avant ses tournages.

On ne pouvait pas faire venir une infirmière et je faisais mes pansements, je nettoyais mes plaies, a-t-elle expliqué. Il y a des gens qui ont une chance incroyable d’être super entourés par une nombreuse famille. Moi, je n’ai plus de famille, je ne peux pas l’inventer. Je ne peux pas inventer mon papa et ma maman, qui seraient certainement venus avec moi. Mon grand-père, je ne l’ai plus… Je me suis dit que le combat, il va falloir le faire toute seule et je l’ai fait toute seule“. Une lutte en solitaire prouvant tout son courage.

Laurence Boccolini : comment sa fille Willow vit-elle sa maladie ?

Si Laurence Boccolini se dit seule dans son combat contre sa tumeur, elle peut compter sur le soutien de sa fille Willow. “Elle voit, mais je lui dis que c’est la vie, que ce sont des choses qui arrivent et qu’il faut que je passe à travers. Elle m’aide beaucoup et moi je ne l’alarme pas. Mais je ne veux pas l’inquiéter plus qu’elle ne doit être inquiétée. Elle sait qu’elle a une maman qui, de temps en temps, est un peu fatiguée et elle est cool”, a confié l’ancienne femme de Mickaël Fakaïlo à Michel Drucker. Un discours plein de résilience.