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Carla Bruni aime “la douce ivresse”
Au micro de Rose, elle expliquait avoir au cours de sa vie “souffert de toutes les addictions”. La première s’étant manifesté très tôt, alors qu’elle était accro au sucre. “Je n’étais pas surveillée donc dès l’enfance, je devais boire 30 ou 40 Coca Cola par jour. Et je ne mangeais pas de repas normaux, je ne mangeais que des pastilles, 3 boîtes de Valda”, révélait-elle. Et une fois que son addiction au sucre lui a passé, Carla Bruni s’est tournée vers le tabac dans lequel elle avait grandi toute sa vie. “Je suis arrivée très vite au tabac vers 14-15 ans, qui est dans toute ma famille, donc c’était facile, ils n’ont rien pu me dire”, a-t-elle raconté. Petit à petit, le top modèle s’est également mise à boire de l’alcool et s’est peu à peu rendu compte qu’elle avait du mal à s’en passer. Elle se considère même comme “une vraie addicte”, même si elle,“pense profondément qu’on est addicte à sa manière”. Concernant la consommation d’alcool, Carla Bruni “aime la douce ivresse”. “Le problème c’est que comme je suis une addict, je ne m’arrête pas à la douce ivresse”, avait-elle ajouté dans le podcast avant de préciser se sentir “obligée d’arrêter l’alcool”. Un combat qui, l’an dernier, n’était pas encore tout à fait derrière elle. “Moi je rechute environ une fois par mois”, confiait-elle en expliquant aimer boire une bière avant de monter sur scène. “Pour moi une petite bière, c’est comme de l’eau minérale”, jugeait-elle avant de préciser s’accorder cet écart “pour redescendre l’énergie” avant de commencer un concert.
Au mois de janvier 2025, elle qui a a acquis le Château d’Estoublon en Provence il y a cinq ans avec Nicolas Sarkozy, annonçait lancer l’Excessive rosé. Il s’agit-là d’un vin rosé pétillant… Et sans alcool ! Carla Bruni aurait-elle gagné sa lutte ?
