Pour la journée du 31, les températures maximales resteront basses : souvent entre 0 et 3 °C dans l’est, 4 à 7 °C ailleurs. Le soir, les gelées vont rapidement gagner l’intérieur du pays et le thermomètre pourra descendre jusqu’à -8 °C dans certaines zones de l’est, avec un vent de nord-est accentuant le froid ressenti.
Dans le scénario jugé le plus probable, ce flux de nord-est garde un caractère sec. Le ciel serait alors plutôt dégagé ou faiblement nuageux sur de nombreuses régions, avec seulement quelques averses en bord de Manche et une instabilité en Corse et sur le littoral méditerranéen. Dans cette configuration, la neige en plaine resterait localisée.
Quelles régions surveiller dans la nuit du 31 au 1er janvier ?
Au passage à 2026, le gel s’annoncera quasi généralisé à l’intérieur des terres. Le matin du 1er janvier, les températures resteraient négatives entre Grand Est, Bourgogne-Franche-Comté et Auvergne-Rhône-Alpes, autour de -2 à 0 °C, tandis qu’elles ne dépasseraient guère 1 °C à Paris, 2 °C à Angers ou 3 °C à Bordeaux et Toulouse.
Le risque de neige dépendra d’un possible basculement du flux vers le nord. Si l’air devient plus humide, des précipitations pourraient se produire, sous forme de neige à basse altitude, voire jusqu’en plaine dans une partie de la moitié nord et sur les piémonts du Massif central et des Alpes, l’Alsace apparaissant parmi les zones les plus exposées. Les prochains jours permettront de préciser ce scénario encore incertain.
