En effet, Brigitte Bardot s’est souvenue, dans les colonnes de Paris Match, en 2021, des difficultés rencontrées lorsqu’elle a voulu lancer sa fondation de protection des animaux. En effet, elle devait alors débourser 3 millions de francs. “Or, j’étais incapable de réunir une telle somme, peu attachée à l’argent, ayant dilapidé la majorité de mes gains de star, je n’avais plus aucun revenu“, avait-elle soufflé. Elle réunit néanmoins les fonds nécessaires, après avoir vendu aux enchères des objets personnels, parmi lesquels on retrouve ses bijoux offerts par son mari Gunter Sachs, sa robe de mariage avec Roger Vadim, des meubles et même sa guitare, notent nos confrères de Gala. Depuis, l’actrice privilégiait une vie simple et discrète, lançant même dans une interview, reprise par le documentaire Brigitte Bardot l’insoumise : “Je n’aime pas le luxe, j’aime le confort. La richesse me dégoûte. Je vis ma vie au jour le jour, d’une façon digne et positive. Je suis aujourd’hui moins malheureuse qu’à l’époque.”
Ces biens immobiliers qui pourraient faire la fortune des héritiers de Brigitte Bardot
Reste bien La Madrague, la maison de Saint-Tropez que Brigitte Bardot aurait acquise pour 24 millions d’anciens francs (soit 450 000 euros environ), estime CNews, ainsi qu’une seconde villa sur les hauteurs tropéziennes. La Madrague, devenue mythique, pourrait désormais atteindre une valeur beaucoup plus élevée, en comptant sur la hausse du marché mais aussi sur son statut de lieu mythique. Notons que “BB” aurait dit souhaiter y être enterrée, ce qui risque de compliquer les processus de vente. En revanche, elle avait déjà mis sur le marché un bien immobilier de 450m² à Cannes, en 2020, pour 6 millions d’euros. Autant de biens dont pourrait hériter le seul enfant de l’icône, son fils Nicolas, né le 11 janvier 1960 de ses amours avec Jacques Charrier.
