Quand la réalité dépasse la fiction
Ce soir-là, à Izmit, un chien a volé la vedette. Pas par espièglerie. Pas par accident. Mais parce qu’il a incarné, en un seul geste, ce que tout art cherche à transmettre : une émotion vraie. Et c’est peut-être cela, le plus beau des spectacles. Celui qui ne se répète pas. Qui ne s’écrit pas. Qui se vit.
