


Au-delà de la sépulture, La Madrague devait, plus tard, devenir un lieu géré par sa fondation : un musée fidèle à sa vie, pensé non pas « à la gloire de Brigitte Bardot », mais « pour la bonne cause », au service des animaux. En 2018, elle en parlait déjà très concrètement : « La Madrague devant laquelle défilent des foules de gens en tentant de m’apercevoir deviendra un musée. Moyennant 2 ou 3 euros qui alimenteront les caisses de ma fondation, le public pourra visiter ma maison de pêcheurs qui sera laissée dans son jus », confiait-elle. Reste désormais à voir si ce projet, qu’elle avait imaginé dans les moindres détails, sera effectivement mené jusqu’au bout.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias