
8 choses que les seniors font différemment et qui les rendent plus heureux que les jeunes générations
Beaucoup de jeunes fondent leur estime de soi sur leur carrière et arborent le burn-out comme une médaille. La génération précédente voyait le travail différemment : c’était un moyen de subsistance, pas le sens de la vie.
Mon père travaillait dur, mais il terminait sa journée à 16 h et n’en avait jamais honte. Il ne consultait pas ses e-mails pendant le dîner et ne pensait pas que la passion devait forcément être motivée par un salaire.
Paradoxalement, cette séparation lui a permis de trouver un sens plus équilibré à sa vie. Il puisait son identité dans ce qu’il était, et non dans son métier. Et les recherches le confirment : les personnes qui se définissent au-delà de leur travail éprouvent généralement une plus grande satisfaction dans la vie, surtout en vieillissant.
La génération précédente ne maîtrise pas toujours les discussions de groupe ou les messages instantanés, mais elle excelle dans quelque chose de plus précieux : se rencontrer en personne.
Ils appellent plutôt qu’ils n’envoient de SMS. Ils passent du temps avec les gens plutôt que d’envoyer des vidéos. Ils privilégient les longues conversations aux réponses brèves.
Il y a quelque chose de profondément humain à s’asseoir avec quelqu’un, partager un repas et ne pas consulter son téléphone toutes les quelques minutes. Les jeunes générations sont connectées à des milliers de personnes, mais se sentent souvent plus seules que jamais.
La génération précédente nous rappelle que le vrai bonheur prend racine dans les petits moments réguliers passés hors ligne.
4. Ils connaissent la différence entre l’intimité et la solitude